Parce que la qualité de l'air commence par de petits gestes quotidiens, retrouvez des conseils et astuces pour améliorer l'air que vous respirez.
Comment la qualité de l'air évolue dans la métropole ? Quelle est la situation dans ma commune ? Quels sont les principaux polluants dans l’air ? Quelles sont les sources de pollution ? Tendance sur les deux prochains jours, indice de qualité de l'air et carte interactive : plusieurs moyens sont à votre disposition pour connaître la qualité de l'air dans votre commune.
Dans cette mission, chacun à un rôle à jouer : la Métropole s’engage via des actions concrètes pour améliorer l'air que nous respirons et invite chaque habitant à prendre conscience de son propre impact sur la qualité de l’air et en citoyen responsable, à modifier ses comportements en conséquence.
L'indice de qualité de l'air permet de connaître la qualité de l’air près de chez soi et d’adapter ses activités en conséquence.
La qualité de l’air, malgré une diminution significative du niveau de pollution depuis 2007, reste une préoccupation importante de la collectivité comme de ses habitants, notamment dans le cadre d'une approche globale santé-environnement. En ce sens, la Métropole de Lyon met en œuvre plusieurs moyens comme :
Des bons gestes sont associés à chaque niveau d’indice mais aussi en fonction de la population. En effet, les personnes âgées, les enfants et les personnes souffrant de pathologies cardiaques ou respiratoires sont plus à risques que le reste de la population. Par ailleurs, les sportifs inhalent plus d’air lors de leurs pratiques physiques. Aussi, il est important de rester vigilant à la qualité de l’air extérieure avant ses sorties.
La captothèque est le service de mesure citoyenne de qualité de l’air de l’observatoire Atmo Auvergne-Rhône-Alpes. Il permet à chacun d’explorer la qualité de l’air et d’échanger autour du sujet, en empruntant gratuitement un micro-capteur de mesure, pendant au moins 15 jours. Qualité de l'air intérieur, chauffage, transports et mobilité, lieu de travail... Chacun pourra mieux comprendre les phénomènes atmosphériques en jeu.
La marche à pied, le vélo, les transports en commun, les solutions d’autopartage ou de voitures en libre-service peuvent être des alternatives à la voiture individuelle. L'Agence des mobilités peut vous conseiller et proposer des aides pour ces moyens de transport plus écologiques.
De plus en plus d'habitants de la métropole privilégie un véhicule peu polluant (la Métropole vous accompagne dans ce changement si vous possédez un véhicule concerné par la Zone à Faibles Émissions).
50 kg de végétaux brulés dans le jardin est l’équivalent en termes de pollution de 14 000 kms parcourus en voiture. Il est strictement interdit de les brûler, sous peine d’une amende de 750€.
L’air que nous respirons à l’intérieur de notre logement ou de notre lieu de vie est impacté à la fois par l’environnement extérieur et par les polluants volatiles émis par les matériaux (meubles, colles, revêtements) ou par nos usages (ménage, cuisine…). Or, nous passons en moyenne 80% de notre temps dans des endroits clos (école, transport, travail...). La pollution de l'air intérieur a un impact avéré sur la santé (allergie, asthme, troubles respiratoires). Pensez à aérer votre logement et à vérifier le bon fonctionnement de votre ventilation mécanique (VMC).
Le transport de denrées alimentaires engendre de très nombreux trajets et augmente la présence de polluants dans l’air. Il est préférable de privilégier les produits locaux et de saison.